COV : évaluation des risques sur la santé

Des études d’évaluation des risques des COVs sur la santé depuis les années 80

Si la pollution extérieure a toujours suscité l’intérêt de chercheurs, la pollution intérieure n’a fait l’objet d’études poussées qu’à partir de la seconde moitié des années 80. Il était temps de s’y intéresser, car en milieu urbain, nous passons plus de 80 % de notre temps en intérieur (au domicile, au travail, en voiture, à l’école…), respirant de nombreux polluants spécifiques aux espaces fermés.

De manière générale, les sources de pollution intérieure proviennent :  

  • de nos activités domestiques : tabagisme, ménage, bricolage
  • des matériaux de construction : revêtements de sols, peintures, matériaux d’isolation…
  • de l’utilisation des équipements de l’habitat : appareils de chauffage, de production d’eau chaude, air conditionné…
  • précisons qu’une partie de la pollution intérieure provient directement de l’air extérieur : pollens, monoxyde de carbone…

Les Composés Organiques Volatils, des produits ménagers sont reconnus comme polluants

Pour vous donner quelques exemples, les produits ménagers émettent effectivement des Composés Organiques Volatils (COVs) qui sont des molécules sous forme gazeuse reconnues comme polluantes (Agence nationale de la sécurité sanitaire). Les revêtements en bois reconstitués et contreplaqués émettent du formaldéhyde, l’un des COVs les plus toxiques. Les composés biologiques (acariens, poils d’animaux) nichés dans nos textiles et les particules chimiques issues des appareils de cuisson et de chauffage créent des poussières, elles aussi responsables de la dégradation de la qualité de l’air intérieur.

Certains de ces polluants apparaissent à un taux de concentration plus élevé dans l’air intérieur que dans l’air extérieur ; la question est bel et bien de connaître leur niveau de dangerosité !

L’objectif : corréler la qualité de l’air intérieur et la respiration

Qu’elles soient initiées par l’Observatoire de la qualité de l’air, l’Organisation mondiale de la Santé, l’Agence nationale de la sécurité sanitaire et tant d’autres, les études et tests d’évaluations s’attèlent tous à trouver des relations de cause à effet entre la pollution intérieure présente dans nos domiciles et les maladies respiratoires, telles que l’asthme, les broncho-pathologies chroniques obstructives (réduction des capacités respiratoires) ou le cancer du poumon.

Dans ce contexte, les études les plus courantes sont des études épidémiologiques. Elles sont basées sur l’analyse des composés présents directement dans le domicile des personnes suivies (installation de capteurs), mais aussi par inventaire des sources habituelles de pollution intérieure et questionnaires pour connaître les habitudes et évaluer le temps passé quotidiennement dans leur foyer.

L’évaluation des COVs sur la santé : des tests difficiles à mener

Globalement, ces études sur la qualité de l’air intérieur sont difficiles à mener. Il s’agit de quantifier les polluants, la durée d’exposition d’une personne et de corréler ces données à sa santé respiratoire. Les groupes testés sont toujours issus du même milieu, donc exposés aux mêmes sources de pollution extérieure.

Tests d’évaluation des risques des COVs : les personnes au foyer les plus touchées

La synthèse « Pollution atmosphérique et poumon – Approche épidémiologique » proposée par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) met en exergue les risques des COVs et autres polluants de l’air intérieur sur la santé. De manière générale, la synthèse liste les sources de pollution intérieure et les effets constatés sur la respiration, allant des simples irritations aux infections plus sérieuses ou au cancer. On y trouve par exemple le lien entre :

  • le tabac environnemental (lien vers l’effet du tabac) et le cancer.
  • la combustion des appareils de cuisson et l’altération des fonctions respiratoires pour les personnes régulièrement en cuisine.
  • l’émission de COVs issus des produits d’entretien de la maison et l’asthme. Cette maladie toucherait plus régulièrement les personnes dites « au foyer » et chargées du ménage.

Évaluation des risques des COVs sur la santé : la pollution intérieure classée 10e facteur de risque

De manière générale, les études effectuées ces vingt dernières années sur la thématique de la pollution de l’air intérieur, permettent d’affirmer que :

  • la pollution de l’air intérieur accroît les risques d’irritation, d’allergies et les symptômes des maladies chroniques respiratoires.
  • 1,5 à 2 millions de décès par an dans le monde peuvent être attribués à la pollution de l’air intérieur (estimations minimums).
  • la pollution de l’air intérieur est classée 10e facteur de risque de décès dans le monde.
  • les pays pauvres et en voie de développement sont les plus touchés par la pollution de l’air intérieur, car les produits ménagers et appareils de la cuisine sont moins normés (utilisation de combustibles plus toxiques, comme le fioul, le charbon, peu de sensibilisation aux bonnes pratiques et aux risques liés à l’émission de COVs…).
  • à dimension mondiale toujours, les femmes sont plus touchées par la pollution de l’air intérieur que les hommes.

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En France, nos intérieurs jouissent de matériaux et d’équipement de plus en plus suivis et normés quant à leur émission de polluants. Néanmoins, nos produits du ménage émettent encore des Composés Organiques Volatils (COVs). Nos équipements de la maison créent des poussières potentiellement toxiques. Pire, certains produits d’ambiance et sprays désodorisants polluent alors même qu’ils sont vendus pour assainir l’air de votre intérieur. Dans ce contexte, n’hésitez pas à utiliser notre purificateur d’air. Il est à base de charbon actif et d’acétoacétamide, deux anti-polluants chargés de capturer les COVs. Vous pouvez l’utiliser pour améliorer la qualité de l’air dans votre intérieur ou dans votre voiture.

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